La santé est notre bien le plus précieux

Le quotidien du cardiologue Oliver Müggler est diversifié, partagé entre les diagnostics et la thérapie de maladies existantes, d’une part, et la prévention de possibles maladies futures, d’autre part.

Le cabinet de groupe d’Oliver Müggler se situe au cœur du quartier de Seefeld à Zurich. Celui qui s’attend à y trouver l’ambiance d’un hôpital se trompe: les patients sont accueillis dans une salle lumineuse à la décoration très soignée, embellie par de gros bouquets de fleurs aux couleurs magnifiques, qui diffusent une odeur discrète. «Nous voulons que les gens viennent nous voir parce qu’ils veulent guérir, pas pour rester malades», explique Oliver Müggler. «Chez nous, l’être humain passe avant tout.» Le cabinet de groupe couvre quatre spécialités: la cardiologie, la médecine générale, l’endocrinologie et la rhumatologie. Par exemple, si un médecin généraliste suppose qu’un patient souffre d’une maladie cardiaque, il en parle avec Oliver Müggler. Ensemble, ils mettent en place le traitement optimal. Cet échange étroit entre les différentes spécialités profite aux patients, car ils béné­ficient d’une prise en charge complète au sein d’un même cabinet.

En tant que cardiologue au sein du cabinet de groupe, Oliver Müggler diagnostique des maladies cardiaques du matin au soir: il examine le cœur de ses patients et met en place des traitements. La médecine s’accompagne d’une grande responsabilité, insiste Oliver Müggler, qui se remémore ses années d’études. Il le savait déjà à l’époque. En discutant avec lui, on sent qu’il assume sa responsabilité vis-à-vis de la santé de ses patients et patientes, avec beaucoup d’attention et de passion. Il nous explique que les examens, les traitements et en particulier le conseil dans le cadre des mesures préventives comportent des défis. Il n’est pas rare qu’un examen révèle un risque élevé de maladie à venir. Et pour éviter qu’un patient fasse un infarctus dans dix ans, le médecin lui prescrit un médicament, qui peut avoir des effets secondaires, mais dont l’effet bénéfique se fera ressentir beaucoup plus tard. Pour expliquer au patient en des termes compréhensibles la nécessité de suivre ce traitement et le motiver à le commencer dès maintenant, il faut avoir de l’empathie, souligne Oliver Müggler. Une relation de confiance avec les gens est primordiale pour le médecin. Apaiser les craintes d’un patient et lui donner espoir, c’est ce qui motive Oliver Müggler chaque jour.

À côté des nombreuses activités purement médicales, être copropriétaire d’un cabinet de groupe implique aussi une responsabilité entrepreneuriale. Dans l’esprit du centre médical Mediquai de Zurich, l’être humain est également placé au centre de l’entreprise. Pour Oliver Müggler, il est évident que tous ses collaborateurs doivent bénéficier d’une solution de prévoyance généreuse. Mais ce n’est pas tout: depuis toujours, les fondateurs sont très attachés à la meilleure protection possible et à une couverture des risques optimale.

Anton Isenschmid a le visage radieux. Conseiller à la clientèle, il accompagne le centre médical Mediquai de Zurich depuis sa création et se rappelle encore parfaitement sa première rencontre avec Oliver Müggler. Passionné par le cyclisme, Oliver Müggler s’était rendu au premier rendez-vous avec son casque de vélo sous le bras. «Il m’a paru tout de suite sympathique», raconte Anton Isenschmid en souriant. A ses yeux, ses clients sont également toujours des partenaires avec lesquels il veut mener un projet à bien. En tant que spécialiste en assurance, il se sent à sa place quand ses solutions peuvent être utiles à d’autres spécialistes et les aider à s’adonner avec enthousiasme à leur passion en toute sérénité. Cela fait déjà 37 ans que le conseiller chevronné travaille pour Zurich. Et aujourd’hui encore, il aime rendre visite à ses partenaires et échanger avec eux. «Quand on fait ce métier, il faut aimer les gens», Anton Isenschmid en est convaincu. L’ambiance qui règne dans le cabinet médical Mediquai lui a plu dès le début. Une chose fut donc rapidement évidente pour lui: «Ce sera une success story. Quand on aime son travail, cela procure vraiment beaucoup de force et d’énergie.»